2012-08-02

NON JE NE SAVAIS PAS QUE JE DEVAIS ENFANTER UN BOUDDHA (Le bouddhisme tibétain est une secte)

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LA LOGIQUE DE CE HIERARQUE TIBETAIN ETAIT LA SUIVANTE : LE CORPS DE L AUTRE M'APPARTIENT ET JE LE PUNIS SI JE N'EN OBTIENS PAS CE QUE JE VEUX, EN RAISON DE  MON DROIT DIVIN ET RELIGIEUX

A l'âge de seize ans j'ai fait un stage (danse et cirque) de trois semaines à la chartreuse de Villeneuve-Lès-Avignon, dans le cadre du CIRCA. Des bouddhistes y demeuraient. Pour mon plus grand malheur, le 16° karm m'a vue sur une scène et il s'est ensuite précipité vers moi en disant que j'étais mort, dans une autre vie, en lui demandant de l'aide, un homme s'est interposé « tout karmy que tu es, tu n'as pas tous les droits » puis Karmy est venu me voir une autre fois, en me disant que j'avais été son compagnon, qu'il était désolé que je ne le reconnaisse pas. J'ai refusé de devenir bouddhiste et il a dit que je rendrais un grand service aux bouddhistes. Il m'a présenté Shamy en me disant qu'il était le gardien de la religion. Ces rencontres malencontreuses ont fichu en l'air toute ma vie de jeune fille et de femme.
Entre temps, ils avaient écrit à mes parents pour les prévenir de la haute destinée qui m’attendait et qui devait changer le monde. Ceux-ci très suspicieux envers ce groupe d’illuminés ne donnèrent pas suite à leur courrier qui est allé directement à la poubelle.

Plus tard, en 1980-81, alors que j'étais à Aix, où j'avais souhaité m'inscrire en fac de sociologie, ils m'ont retrouvé « quelle chance de t'avoir retrouvée » ont-ils dit. Pour moi, ça a été le début de mon malheur.
Il faut dire qu’il n’était pas difficile de les rencontrer à cette époque, ils étaient toute la journée dans la rue, assis à discuter avec les passants ou leurs amis. Le bouddhisme était alors en pleine expansion, une mode qui ne s’est pas démentie depuis les années 70. Lors de cette rencontre, c’est même une personnalité du show business qui m’a présenté au groupe réuni dans la rue et particulièrement à son dirigeant Shamy , disciple du 16ème  Karmy décédé, qui s’est souvenu de la révélation de son maître concernant le grand service.
Quelques temps après je me suis retrouvé enceinte, des œuvres d'un sympathisant de ce groupe bouddhistes.

Le groupe a été rapidement mis au courant de telle sorte que peu après lorsque je les ai croisés dans la rue, ils m’ont questionné sur mon état, l’avancement de ma grossesse, si j’avais des maladies, si j’allais allaiter…. A l’époque, j’ai surpris quelques conversations qu’ils avaient entre eux me concernant, mais dont je ne comprenais pas très bien l’intérêt, du style « Il faut la mettre au courant pour la cérémonie qui va bientôt avoir lieu ». Rapidement, ils m’ont envoyé un adepte, Marcello, pour « veiller sur moi ». Je lui ai dit que je n’avais rien à voir avec les bouddhistes, que je ne les connaissais pas, lui m’a répondu « Mais, eux te connaissent ». Paroles biens absconses pour moi à l’époque. Et pendant 2 semaines, il est venu me voir régulièrement, ce que je ne refusais pas car il était sympathique et j’étais seule
Mais en fait, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. De toute façon j'avais une histoire de vie qui me faisait craindre d'enfanter. Celui qui m'avait mise enceinte, était parti le matin même. Il se moquait bien de moi, j'étais seule, ne sachant comment affronter cette épreuve supplémentaire, non désirée. Je dois avouer que j’étais déstabilisée à cette époque, j’étais isolée à Aix, ma famille résidant dans le Var, j’étais enceinte et je portais cela toute seule à 20 ans. Je me demandais ce qui m'arrivait, je ne comprenais pas que j'avais été piégée. Je n'avais pas de situation, ni de compagnon qui m'aurait permis d'élever correctement cet enfant. J'ai donc avorté ainsi que m'y autorisait la loi.

Là mon protecteur bouddhiste Marcello n’a pas été content du tout. Lorsqu’ensuite j’ai rencontré les adeptes de Shamy dans la rue à Aix, ils se sont rués sur moi pour me sermonner, m’invectiver et même l’un d’entre eux juste un peu plus loin, m’a molestée et a failli m’étrangler. En avortant, j’avais selon eux commis une faute impardonnable qui nuisait gravement au bouddhisme.
Ils sont devenus très agressifs, me disant qu'ils faisaient des cérémonies occultes pour me condamner au malheur, que j'allais être punie car leur plan avait échoué à cause de moi. Ils ont parlé, entre eux, de l’âme du Grand 16èmeKarmy qui devait venir habiter le fœtus.
« C'est un être qui avait des qualités dix fois supérieures à la normale qui voulait naître de toi, parce que tu es douce et gentille » « notre plan a échoué mais toi tu vas être punie » m’ont-ils dit. Il m'a fallu trente ans pour comprendre quel était le service que je devais rendre aux bouddhistes de cette lignée. Mais je ne comprends toujours pas pourquoi ils n'ont jamais pensé à informer le ventre que j'étais de ce qu'ils attendaient de moi.
Il y avait deux raisons à leur souhait de la naissance du karmeny  en France. 
1/ Avec la renaissance en France du karmy , il aurait eu la nationalité française et n'aurait plus été dans l'obligation de demander des visas. En y repensant, je crois qu’il était certainement plus efficace, plus lucratif pour eux d’avoir leur « Pape » (Karmy) en France parce qu’en Inde, le Karmy n’y est pas respecté et protégé comme il pourrait l’être dans notre pays. Et aussi cela lui aurait fait gagner dix ans d'évolution, pour propager sa religion
2/une nouvelle branche de leur lignée venait d’apparaître et elle était plus évoluée, responsable, composée d'intellectuels, Shamy les critiquait en disant qu'ils ne respectaient pas la religion “
Shamy leur maître les avait vraiment ligués contre moi, en invoquant des croyances bouddhistes extrémistes. Il était question maintenant, et ils ne se gênaient pas pour le dire en ma présence, que mon acte sacrilège appelait de leur part une cérémonie de malédiction à mon encontre. Je devais être maudite à jamais et ne plus avoir de vie amoureuse avec qui que ce soit. Et ne pas enfanter pour rester la mère spirituelle du 17° karmy Toujours d'après eux.

Toujours est-il que même après le départ de leur maître les adeptes aixois dirigés par une certaine SANDRINE , étaient très remontés contre moi. Shamy avait su exacerber leurs croyances superstitieuses contre moi : j’étais une sorte de sacrilège ambulant, une sorte de déicide, que l’on pourrait mettre en parallèle dans le monde chrétien avec une Vierge Marie qui aurait attenté à la vie du Messie en gestation. Et effectivement, c’est ce qu’ils ont fait par la suite, ils m’ont traitée comme un animal, une ordure, la lie de l’humanité.

Il faut dire, qu’ils n’ont pas eu de mal à me prendre en main, car j’étais à ce moment là extrêmement affaiblie, physiquement et moralement, après les bouleversements hormonaux encore présents dans mon corps suite à ma grossesse, cet avortement ensuite, assumé seule et mon isolement.

Je ne me souviens plus à l’époque (cela fait 32 ans) comment les choses se sont passées exactement, toujours est-il qu'ils m’ont convaincue de les suivre pour participer à une cérémonie, suivies d'autres séances, où l'on m'offrait toujours un petit thé. JMC disait « tu vois c'est moi qui te prépare ton thé » en fait, je les soupçonne très fortement d’avoir commencé à me droguer systématiquement,compte tenu de mon comportement irrationnel à cette époque.

La première fois, arrivée en haut des escaliers qui menaientà leur appartement, j’ai soudain ressenti une vive douleur à la tête, je me suis effondrée dans un état semi-conscient. Ce dont je me souviens dans le brouillard ou l’état second dans lequel j’étais à ce moment là, ce sont les conversations, notamment celle d’une professionnelle de santé apparemment qui disait avoir manipulé ma 5ème vertèbre pour bloquer mon énergie sexuelle afin que je n’enfante plus. Je me souviens encore de ses propos qui me laissent penser qu’elle était du milieu médical : « Mon Dieu ! Si l’ont apprend que je fais cela, je n’aurai plus le droit d’exercer » Pendant ce rituel, j’ai senti que l’on m’introduisait quelque chose, un objet dans mon sexe et lorsque je me suis révélée complètement, j’étais nue et mon corps portait de nombreuses marques de griffures.

Ce sont 2 adeptes qui m’ont soutenues pour me ramener chez moi et qui je m’en souviens comme si c’était hier, râlaient d’avoir été assignées à cette corvée parce que « si on nous voit avec elle, on va nous reconnaître et c’est nous qui aurons la police sur le dos »

A cette époque j'avais toujours très mal à la tête, j'oubliais que je suivais des cours je ne retrouvais pas le chemin de mon domicile. J'étais anéantie mentalement, j’avais perdu tout discernement, j’étais devenue un zombi. Les parents de quelques camarades de faculté ont alors alertés mon père et ma mère de ce que j’avais été « envoûtée » par des bouddhistes. Ils m’ont donc récupéré dans le Var quelque temps pour me remettre sur pieds, mais j’étais cassée en dedans. Finalement je suis retournée chez moi à Aix, toujours dans cet état plus ou moins végétatif, du moins au point de vue de ma volonté et de mon discernement.
Malheureusement, un disciple, JMC n'en avait pas fini avec moi, il m'a fait boire dans la rue un jus d'orange très probablement drogué, puisque je l’ai suivi lorsqu’il m’a invité à le faire. Il a abusé de moi avec deux de ses copains dont un certain Patrick. Puis un groupe de mecs est arrivé et ils ont dit « elle doit payer ». Payer quoi? D'avoir avorté et le fait que Shamy, ce tyran moyenâgeux n'ait pas pu utiliser ma fécondation? Pierre (JMC) m'a livrée à eux. Ils m'ont à nouveau déshabillée puis frappée. C'est si facile quand on a une victime inconsciente, fragile et faible. L'humoriste disait « elle est jolie notre trou à bites notre bouche à pipes » par la suite il est devenu une petite star du show business, un « comique » pour la scène, mais pas dans sa vie privée en tous cas. Quand on voit comment certains hommes traitent les femmes on se demande comment les autres femmes arrivent encore à mettre des bébés au monde. Ensuite un groupe de monstres est arrivé. J'ai compris que c'était encore pour moi. Quelques jours plus tard j’ai dit à une copine « heureusement qu'ils ne m'ont pas blessée ». Le collectif produit le pire parce qu'il donne un sentiment d'impunité. Surtout quand il est validé par des motifs pseudo religieux, expiatoires, etc.

La police est intervenue, mes amies ont donné l'alerte. J'étais tellement droguée, que j'ai perdu la mémoire, et mes capacités intellectuelles, j’étais hébétée. Je ne comprenais plus rien. Je ne pouvais plus me déplacer seule.

Mais je me souviens de la reconstitution devant la porte du 15 place Saint Honoré à Aix., devant la maison de monsieur A. Ma mère leur criant « vous lui avez demandé son accord à ma fille pour la mettre enceinte, vous lui avez demandé son accord, pour avoir des relations sexuelles avec elle? Je suis plus fière d'être la mère d'une gentille fille, même violée que si j'étais votre mère j'aurais trop honte d'être la mère de violeurs » (le dossier que ma mère est allé chercher au commissariat, quelques temps après, avait curieusement disparu)
Mes parents n'ont pas porté plainte car j'étais inconsciente et je le suis restée pendant trente ans jusqu'au décès de ma maman. Je savais que quelque chose de terrible s'était passé, mais je crois qu'elle préférait me croire inconsciente, car, elle avait trop mal, maman. Je crois en fait que nous avons occulté mutuellement cette affaire, de peur de nous faire plus de mal encore.
C'est pour elle, pour moi que je témoigne, plus jamais ça! Notre corps nous appartient et les hommes n'ont aucun droit sur notre corps. Pas le droit de décider de nous faire faire un enfant, comme l'avait décidé karmy et shamy, parce que ça leur chante, pas le droit de nous violer quand ça leur chante. Ont ils pensé tous ces violeurs qu'ils sont nés d'un ventre de femme ? En me violant c'est leur propre mère qu'ils ont meurtrie.

Mais parce qu'il n'y a pas eu de plainte, de poursuites et de sanctions, ils se sont crus protégés et ils ont continué à me harceler. Dès que j'avais un petit ami, ils s'empressaient de lui dire qu'ils avaient été obligés de me punir, en raison de ma culpabilité. Les gens se détournaient de moi, car ils les croyaient! Ils me démolissaient aussi, professionnellement dès qu'ils le pouvaient (Aix est une petite ville où tout le monde se connaît)

Je les ai retrouvés dans trois centres pour enfants. Une de mes animatrices était la propre sœur de mon violeur. Et dans un club réputé, ils ont arrivés à plusieurs pour faire une cérémonie destinée à me faire du mal. C'est là qu'une fille m'a tout de même posé la question « est-ce que tu savais que l’on attendait un enfant de toi? »
J’ai répondu «  mais vous ne pouvez pas faire vos propres enfants vous mêmes? »
Ils, les adeptes de cette secte prétendue bouddhiste, enfin lamaïste, ont enfin compris au bout de quatorze ans que je n'y étais pour rien dans l'échec de leur projet et que je ne leur avais jamais menti que je ne les avais jamais trompé, puisque j'ignorais tout. Ils ont enfin compris que j'étais innocente de ma prétendue culpabilité. Mais ils m’ont tout de même persécutée et diffamée pendant trente ans, en profitant de mon état d’ignorance. Les violeurs surtout cherchaient à faire croire que j’étais coupable en d’autre façons.

En y repensant je crois qu'ils ont eux aussi été victimes de Shamy qui les a totalement manipulés, et véritablement trompés.
Je suis effarée lorsque je constate que des intégristes comme Shamy, l’initiateur spirituel de la meute de fanatiques à l’origine de mon malheur, se retrouvent parmi les notables du bouddhisme dans notre pays et que mes contemporains gobent tout cela sans aucune conscience des risques qu’ils courent. Mais les hommes, religieux compris, sont tous les mêmes partout. S’ils ne sont pas régulés par des lois (laïques), par l’opinion publique, leur naturel autoritaire, profiteur, mégalo, hédoniste, reprend vite le dessus, et il est sans limite lorsqu’il s’appuie sur l’irrationnel.

Une sociologue a dit « lorsque c'est incroyable, c'est que c'est une secte »

le bouddhisme tibétain ne m'a apporté que du malheur. Mais la corruption de nos « élites » me donne à penser que nous ne nous en sortirons pas. Nous n’évoluerons jamais

CE QUE JE NE PEUX PLUS SUPPORTERC EST QUE CERTAINS DISCIPLES DE LAMAS ET DES SATANISTES SE SOIENT TOUJOURS REPANDUS EN DISANT QUE J ETAIS FAUTIVE OR J AI ETE  PIEGEE DE MANIERE SORDIDE ETPIEGEE PAR UN HIERARQUE LAMA PARCE QUE JE NE DEVAIS PAS ETRE AU COURANT DE LEUR PROJET DE ME FAIRE ENFANTER LEUR BOUDDHA DES FOIS QUE JE NE SERAIS PAS D' ACCORDDONC NE CONNAISSANT PAS LEUR PROJET J'ETAIS INNOCENTE
MAIS ILS ONT VU LES CHOSES AUTREMENT

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